Gratitude, gratitude, est-ce que j’ai une gueule de gratitude?

Dans la majorité des cas, j’accepte les choses « telles qu’elles sont » et plus que de penser à ce que veux, je vois ce que j’ai déjà !

Je parviens à célébrer tout ce qui trouve matière à dire « MERCI », dans ma vie intérieure et extérieure….

Plus je prends cette habitude saine de chercher tout ce qui mérite gratitude, plus il m’est facile de trouver des raisons de vibrer cette gratitude.

Lorsqu’une situation pesante dure trop, je commence à comparer ma vie à celles des autres et évidemment je flanche,

Puis je réalise, de plus en plus vite, que ce que je regarde de la vie de ces autres ne sont que des concepts, des suggestions ancrées dans la conscience collective d’une société moderne.

Je fais alors face à mes propres contradictions.

Je rêve de ce qui fait bien sur le papier, mais rien ne correspond à ma nature et mes aspirations profondes.

Et je reviens à ma réalité pour en apprécier, savourer l’authenticité avec simplicité.

Tout le monde ne part pas du même terrain et la gratitude peut se montrer timide voire inexistante parfois.

Mais la plupart d’entre nous peut expérimenter cette gymnastique du Merci. L’efficacité du processus est tributaire des conditions de vie et des degrés d’implication de chacun.

Il est important de se le rappeler, de tenter et de s’entraîner !

MERCI !

Texte: Samira

Image: Johnhain